De nouvelles ambitions

Depuis 2000  : de nouveaux bâtiments qui traduisent l’ambition de l’université et l’engagement de l’État comme des collectivités territoriales

Alors que les premiers bâtiments avaient surtout pour objectif de gagner les mètres carrés qui manquaient, le schéma directeur structure une volonté politique porteuse d’une nouvelle ambition caractérisée par la nature des bâtiments réalisés ou projetés :
 
  • la Maison de la Recherche pour créer la synergie entre les laboratoires, en grande partie à l’origine du dynamisme scientifique aujourd’hui reconnu de l’Université  Toulouse - Jean Jaurès,

    Opération financée dans le cadre du CPER 1994-1999 à hauteur de 7,623 M€.
     
  • la Bibliothèque universitaire centrale, pour disposer des outils les plus modernes et mettre en œuvre une nouvelle politique documentaire à la hauteur des enjeux scientifiques d’aujourd’hui,

    La BUC
    Opération financée dans le cadre du CPER 2000-2006 à hauteur de 13,721 M€.
     
  • la Fabrique pour accueillir les activités de pratique artistique, mêlant formation, recherche, expérimentation, pratiques amateurs et proposant un grand nombre d’exposition et de spectacles dans l’année,

    La Fabrique
    Opération financée dans le cadre du CPER 2000-2006 à hauteur de 7,3 M€.
     
  • l’université ouverte pour développer les technologies de l’information et de la communication, la qualité de l’information et de l’orientation, la formation tout au long de la vie, la formation à distance, les relations avec le milieu socio-économique,
 
    Université Ouverte
     
  • les bâtiments pour les Unités de Formation et de Recherche (Histoire, Arts, Archéologie ; Langues, Littératures, Civilisations étrangères ; Lettres, Philosophie, Musique ; Psychologie ; Sciences, Espace, Société), pour se doter des dernières technologies dans des salles remarquablement équipées, indispensables aux apprentissages modernes, adaptés aussi à l’évolutivité des enseignements dans la durée.
       
    UFR LLCE    UFR Psychologie

    Opérations financées dans le cadre du CPER 2000-2006 pour la 1re tranche de l’UFR LLCE (18 M€), du CPER 2007-2013 pour la 2de tranche de l’UFR LLCE (23,5 M€) et l’UFR Psychologie (35,7 M€), et du contrat de partenariat pour les UFR HAA, LPM et SES.

  • la reconstruction du pavillon de la recherche, la Gouvernance et la Direction des systèmes informatisés (DSI), le SUAPS et les équipements sportifs (terrain de football synthétique, piste d’athlétisme, city-stade), la maison des initiatives étudiantes (MIE), les locaux syndicaux et de la médecine préventive, l’accueil général et le nouvel amphithéâtre n° 8 (démoli de l’Arche) ainsi que les espaces publics extérieurs (202 M€ d’investissement).

Vers un nouveau modèle de campus

Les bâtiments de formation et de recherche ne seraient rien sans un véritable projet de vie. Aussi l’université a-t-elle défendu une idée en rupture avec les campus à la française aux espaces publics, culturels et sportifs indigents :
  • l’université a souhaité une restauration répondant aux exigences sociales tout en assurant une réelle diversification de l’offre et de mixité des publics :
    • pour cela, elle a d’abord porté le projet de construction d’un nouveau Restaurant universitaire, répondant au mieux aux exigences d’un service de qualité pour les étudiants et point de rencontre entre eux et les personnels de l’Université Toulouse - Jean Jaurès,
    • elle a souhaité qu’il soit complété par d’autres lieux irrigant le campus (cafétérias, restaurant, boulangerie-pâtisserie, épicerie solidaire, etc.),
       
  • parce qu’un campus n’existe que s’il est un lieu de vie, l’université a voulu que le projet intègre une Maison des initiatives étudiantes, des logements étudiants, une crèche pour les enfants des personnels et des étudiants, des locaux et des terrains de sport, des locaux associatifs, syndicaux et pour la médecine préventive universitaire à la fois plus nombreux et mieux adaptés aux besoins d’aujourd’hui. Parce que les étudiants connaissent des situations sociales parfois difficiles que les institutions ne permettent pas toujours de traiter, l’université a souhaité qu’un village solidaire trouve sa place sur le campus.
Le restaurant universitaire